La peur de l'effet domino
Ce n'est pas un krach, mais la bourse connaît une fin de mois de Juillet assez négative. Au 27/07, Wall Street a terminé la séance cette nuit en recul de 2,3% alors que Paris avait chuté de 2,8% et Londres de 3,1%.
La crainte vient surtout de se qu'on nomme l'effet domino (la chute d'un marché entrainant les autres dans sa spirale négative). Ainsi, aux Etats-Unis, la chute de l'immobilier vient déstabiliser les banques; elles risquent de prêter moins et plus chères. Faute de crédit, les entreprises n’investiront plus ; la consommation baissera ; les opérations boursières tel que les OPA ralentiront... Alan Greenspan, l’ex-patron de la Fed, avait déjà plantait ce scénario catastrophe lors d'une conférence en début d'année.
Néanmoins, 2 "acteurs" peuvent enrayer cette spirale : la banque centrale américaine d’abord qui peut baisser ses taux pour favoriser l'accès au crédit et la consommation. Puis la croissance mondiale qui reste suffisament forte pour encaisser ce genre de choc.
La crainte vient surtout de se qu'on nomme l'effet domino (la chute d'un marché entrainant les autres dans sa spirale négative). Ainsi, aux Etats-Unis, la chute de l'immobilier vient déstabiliser les banques; elles risquent de prêter moins et plus chères. Faute de crédit, les entreprises n’investiront plus ; la consommation baissera ; les opérations boursières tel que les OPA ralentiront... Alan Greenspan, l’ex-patron de la Fed, avait déjà plantait ce scénario catastrophe lors d'une conférence en début d'année.
Néanmoins, 2 "acteurs" peuvent enrayer cette spirale : la banque centrale américaine d’abord qui peut baisser ses taux pour favoriser l'accès au crédit et la consommation. Puis la croissance mondiale qui reste suffisament forte pour encaisser ce genre de choc.